IMAGERIE CÉRÉBRALE,
ORBITAIRE ET RACHIDIENNE
Les progrès de l’imagerie médicale ont été portés par le développement de la neuroradiologie. L’apparition du scanner, puis de L’IRM, et enfin sa déclinaison en de multiples séquences (diffusion, Flair, perfusion, spectroscopie, tractographie, IRM fonctionnelle de repos et d’activation…) ont été développées sur le crâne et le cerveau. Aujourd’hui encore cette spécialité accompagne l’évolution des techniques.
Le scanner cérébral est un excellent examen dans un contexte d’urgence. Il permet d’explorer différents contextes :
Le scanner, du fait de sa résolution spatiale, permet une excellente analyse des vaisseaux.
L’IRM cérébrale présente une excellente résolution en contraste. Elle permet une exploration très fine du cerveau, des conduits auditifs internes (CAI) ainsi que de la moelle épinière.
Parmi les meilleures indications, on retrouve :
L’IRM orbitaire est un examen indiqué pour étudier les troubles de la vision et de l’oculomotricité.
Il permettra une étude fine des nerfs optiques et des contenus intra-orbitaires (muscles oculomoteurs, graisse intra-orbitaire, vaisseaux…).
Les principales indications de l’IRM orbitaire :
L’échographie-doppler est une technique fiable, non invasive et non irradiante. Elle permet un accès rapide aux vaisseaux à destinée encéphalique et reste à envisager en cas de contre-indication à un angioscanner des TSA (insuffisance rénale).
Ses intérêts principaux résident dans :